Jean-François Bonnier se forme à partir de 2005 à l’art de l’icône, d’abord à l’Atelier Saint-Luc (Paris), puis avec une iconographe de tradition grecque en région parisienne et au Bec Hellouin.
Il participe à des expositions collectives dès 2009, puis individuelles (Bihorel en 2011, Bois-Guillaume en 2013).
Parmi ses oeuvres, la Vierge Marie est plus particulièrement représentée.
Deux icônes de grande taille sont exposées dans la basilique de Bonsecours et dans la chapelle du collège Sainte-Jeanne d’Arc de Sceaux.
Les icônes sont « écrites » dans la tradition iconographique (peinture a tempera, feuille d’or, modèles des périodes 13e-17e siècles) et dans le respect de l’enseignement de l’Eglise.
En outre, Jean-François Bonnier réalise des peintures à l’huile sur toile de la période Renaissance (portraits d’après Raphaël, Vinci, Botticelli).
Adresse : Église Notre-Dame-du-Rosaire – 76190 Hautot-le-Vatois
Oeuvres exposées : 12 peintures d’icônes
Céleste lumière
Le titre de l’exposition a été choisi en référence à la lumière céleste que les Pères de l’Eglise disaient dorée.
Dans l’icône, les personnages représentés sont détachés des contingences terrestres, ils sont « dématérialisés » sans que leur beauté soit altérée.
Les figures sont projetées sur fond d’or, ce qui les éloigne davantage du monde réel et abolit les références à l’espace et au temps.
L’or, c’est l’absolue perfection, au brillant inaltérable. C’est le reflet de la splendeur de Dieu dans laquelle baignent tous les élus. Il ne se rouille ni ne se souille.
L’or symbolise également Dieu lui-même ; cette couleur brille de multiples nuances sur l’icône de la Mère de Dieu.
