« Dieu est venu … l’as-tu accueilli ? … t’inquiète, Il reviendra »

Il est venu dans les maisons de retraite de nos paroisses au Quesnot, comme au BTP au Madrillet, pour les messes avant Noël. Joie de nos anciens. Joie des enfants qui leur ont envoyé des cartes de Noël. Quelle joie d’avoir pu célébrer ces messes auprès de nos mamies et de nos papys !

Joie des jeunes et des enfants qui ont célébré la nuit de Noël et mimé les contes de Noël aux couleurs de l’Évangile. Celui du « père Martin » à Saint-Étienne. Celui du « 4e roi mage » à Oissel.

La Joie de Noël, c’est une joie simple marquée par l’humilité d’une étable. Dieu n’a pas choisi le camp des puissants. Il est venu, mais il aurait pu passer inaperçu. Heureusement, les bergers l’ont reconnu à l’appel des anges.

Dieu nous révèle sa présence « chaque fois que vous l’avez fait ou pas fait à l’un de ces petits ».

Dieu a pris visage d’homme en Jésus. « C’est Noël chaque fois qu’on essuie une larme dans les yeux d’un enfant. »

N’ayez pas peur de vous souhaiter chaque jour, pendant ces prochains 8 jours,

« Joyeux Noël ! »

Fraternellement

Père Jacques Simon

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 2, 1-14

En ces jours-là, parut un édit de l’empereur Auguste, ordonnant de recenser toute la terre – ce premier recensement eut lieu lorsque Quirinius était gouverneur de Syrie. Et tous allaient se faire recenser, chacun dans sa ville d’origine. Joseph, lui aussi, monta de Galilée, depuis la ville de Nazareth, vers la Judée, jusqu’à la ville de David appelée Bethléem. Il était en effet de la maison et de la lignée de David. Il venait se faire recenser avec Marie, qui lui avait été accordée en mariage et qui était enceinte.

Or, pendant qu’ils étaient là, le temps où elle devait enfanter fut accompli. Et elle mit au monde son fils premier-né ; elle l’emmaillota et le coucha dans une mangeoire, car il n’y avait pas de place pour eux dans la salle commune.

Dans la même région, il y avait des bergers qui vivaient dehors et passaient la nuit dans les champs pour garder leurs troupeaux. L’ange du Seigneur se présenta devant eux, et la gloire du Seigneur les enveloppa de sa lumière. Ils furent saisis d’une grande crainte.
Alors l’ange leur dit : « Ne craignez pas, car voici que je vous annonce une bonne nouvelle, qui sera une grande joie pour tout le peuple :
Aujourd’hui, dans la ville de David, vous est né un Sauveur qui est le Christ, le Seigneur. Et voici le signe qui vous est donné : vous trouverez un nouveau-né emmailloté et couché dans une mangeoire. »

Et soudain, il y eut avec l’ange une troupe céleste innombrable, qui louait Dieu en disant : « Gloire à Dieu au plus haut des cieux,et paix sur la terre aux hommes, qu’Il aime. »

Album Photo de la Veillée et Messe de Noël

Encore quelques jours …

Avons-nous été des femmes et des hommes de l’Avent, c’est-à-dire des témoins de l’espérance ? Oui ? Non ? Il nous reste 5 jours.

C’est dans l’ordinaire de nos vies, que nous sommes appelés à voir l’extraordinaire de Dieu. C’est dans les petites choses, que l’on est appelé à vivre des choses encore plus grandes.

Nous pourrions parler de tous ceux et celles qui visitent chaque jour des personnes malades et âgées.

Nous pourrions parler de tous ceux et celles qui consacrent leur temps au service des autres, qui redoublent d’énergie en cette période d’hiver avec le Secours Catholique, le Secours Populaire, les Restos du Cœur, et assurent les maraudes.

Nous pourrions parler de tous ceux et celles qui font des choses formidables autour de nous, sans bruit, vous sans doute, de tous celles et ceux qui donnent de leur personne à la préparation des messes de Noël. « Dieu vient : accueillons-le ! »

« C’est Noël, chaque fois qu’on essuie une larme dans les yeux d’un enfant. C’est Noël tous les jours, chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces petits qui sont mes frères. » Cantique ancien, mais brûlant d’actualité.

Que ces paroles nous aident à préparer les fêtes qui approchent.

Père Jacques Simon

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 1, 39-45

En ces jours-là, Marie se mit en route et se rendit avec empressement vers la région montagneuse, dans une ville de Judée. Elle entra dans la maison de Zacharie et salua Élisabeth. Or, quand Élisabeth entendit la salutation de Marie, l’enfant tressaillit en elle.

Alors, Élisabeth fut remplie d’Esprit Saint, et s’écria d’une voix forte :
« Tu es bénie entre toutes les femmes, et le fruit de tes entrailles est béni. D’où m’est-il donné que la mère de mon Seigneur vienne jusqu’à moi ? Car, lorsque tes paroles de salutation sont parvenues à mes oreilles, l’enfant a tressailli d’allégresse en moi. Heureuse celle qui a cru à l’accomplissement des paroles qui lui furent dites de la part du Seigneur. »

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Mon beau Sapin 

Je vous invite à regarder les sapins de noël de vos maisons, de vos rues de vos églises avec un regard de croyant.

 Née au XVIe siècle sur la rive germanique du Rhin, la tradition de l’arbre de noël associe plusieurs regards.

  • Celle l’arbre du paradis garni de pommes, faisant un lien avec le récit de la genèse
  • Celle de l’arbre de Jessé représentant la généalogie de Jésus
  • Celle de l’arbre qui dans son aspect pyramidal et tout illuminé rappelle « Jésus lumière du monde ».

Vous pouvez donc porter un regard chrétien sur cet arbre. Gardant son feuillage vert, il est le gardien de l’espérance et signe de la vie éternelle. 

 A quelques jours maintenant de Noel votre sapin est, je pense, déjà décoré. Il illumine l’intérieur ou l’extérieur de vos maisons.

 Si le soir de noël vous chantez « mon beau sapin » n’oublier de chanter non plus « Mon Dieu tu es grand tu es beau »

Belle route vers Noël

Fraternellement

Père Jacques Simon

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 3, 10-18

En ce temps-là, les foules qui venaient se faire baptiser par Jean lui demandaient : « Que devons-nous faire ? »
Jean leur répondait : « Celui qui a deux vêtements, qu’il partage avec celui qui n’en a pas ; et celui qui a de quoi manger, qu’il fasse de même ! »

Des publicains (c’est-à-dire des collecteurs d’impôts) vinrent aussi pour être baptisés ; ils lui dirent : « Maître, que devons-nous faire ? »
Il leur répondit : « N’exigez rien de plus que ce qui vous est fixé. »

Des soldats lui demandèrent à leur tour : « Et nous, que devons-nous faire ? »
Il leur répondit : « Ne faites violence à personne, n’accusez personne à tort ; et contentez-vous de votre solde. »

Or le peuple était en attente, et tous se demandaient en eux-mêmes   si Jean n’était pas le Christ.
Jean s’adressa alors à tous : « Moi, je vous baptise avec de l’eau ; mais il vient, celui qui est plus fort que moi. Je ne suis pas digne de dénouer la courroie de ses sandales. Lui vous baptisera dans l’Esprit Saint et le feu. Il tient à la main la pelle à vanner pour nettoyer son aire à battre le blé, et il amassera le grain dans son grenier ; quant à la paille, il la brûlera au feu qui ne s’éteint pas. »

Par beaucoup d’autres exhortations encore, il annonçait au peuple la Bonne Nouvelle.

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Dieu n’est pas un fainéant, il travaille !

Oui, ce n’est pas un scoop, Dieu n’est pas un flemmard, il travaille bel et bien !

Ce n’est pas moi qui le l’affirme, c’est l’apôtre saint Paul dans la seconde lecture que nous entendrons en ce deuxième dimanche de l’Avent : « j’en suis persuadé, Celui qui a commencé en vous un si beau travail le continuera jusqu’à son achèvement au jour où viendra le Christ Jésus. »

Dès aujourd’hui, maintenant, tout de suite, alors que vous êtes en train de lire ce court message, Dieu travaille en vous. Il convertit votre cœur, il le rend semblable au sien, il transforme votre cœur de pierre en un cœur de chair ! Pour nous, chrétiens, la conversion n’est pas qu’un évènement qui a eu lieu dans notre vie, mais elle est sans cesse à l’œuvre pour notre sanctification !

L’image d’une pâte à modeler est très parlante. Nous pouvons dire qu’au début, nous sommes une pâte à modeler informe et brute. Notre conversion, c’est-à-dire le travail de la grâce en nous, est semblable à un potier qui donne une forme à cette matière première, qui le perfectionne sans cesse pour lui donner toute sa beauté, tout son éclat, et ainsi en faire un chef d’œuvre !

Oui, quand nous laissons Dieu travailler en nous, c’est-à-dire nous convertir, nous devenons un chef d’œuvre, son chef d’œuvre !

Alors laissons le Seigneur travailler en nous, particulièrement pendant ce temps de l’Avent, pour faire de nous un chef d’œuvre !

Soyez bénis,

Louis, diacre des paroisses de St Etienne et de Oissel

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 3, 1-6

L’an quinze du règne de l’empereur Tibère, Ponce Pilate étant gouverneur de la Judée, Hérode étant alors au pouvoir en Galilée, son frère Philippe dans le pays d’Iturée et de Traconitide, Lysanias en Abilène, les grands prêtres étant Hanne et Caïphe, la parole de Dieu fut adressée dans le désert à Jean, le fils de Zacharie.

Il parcourut toute la région du Jourdain, en proclamant un baptême de conversion pour le pardon des péchés, comme il est écrit dans le livre des oracles d’Isaïe, le prophète : Voix de celui qui crie dans le désert : Préparez le chemin du Seigneur, rendez droits ses sentiers. Tout ravin sera comblé, toute montagne et toute colline seront abaissées ; les passages tortueux deviendront droits, les chemins rocailleux seront aplanis ; et tout être vivant verra le salut de Dieu.

Retrouvez l’homélie du Père Jacques SIMON en cliquant ici

Album du Marché de Noël

Album bénédiction de la crèche St Etienne

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Dans le mot Aventure, il y a le mot Avent

Ne vivons pas le temps de l’avent d’une façon aventureuse, sans but, sans conversion,
mais comme une Aventure où nous empruntons un chemin, dont on sait qu’il nous conduit vers plus de joie, de vie, de sens.

Un chemin fait de surprises, et d’inattendus, un chemin qui provoque notre vigilance à la fraternité pour ne pas louper le rendez-vous avec Dieu lui-même.

L’Avent n’est pas un temps passif, il est le temps favorable qui réveille notre Espérance.

Belle Marche vers Noël

« Dieu t’invite à l’AVENTure ! »

Père Jacques SIMON

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 21, 25-28.34-36

En ce temps-là, Jésus parlait à ses disciples de sa venue :
« Il y aura des signes dans le soleil, la lune et les étoiles. Sur terre, les nations seront affolées et désemparées par le fracas de la mer et des flots. Les hommes mourront de peur dans l’attente de ce qui doit arriver au monde, car les puissances des cieux seront ébranlées. Alors, on verra le Fils de l’homme venir dans une nuée, avec puissance et grande gloire.

Quand ces événements commenceront, redressez-vous et relevez la tête, car votre rédemption approche. Tenez-vous sur vos gardes, de crainte que votre cœur ne s’alourdisse dans les beuveries, l’ivresse et les soucis de la vie, et que ce jour-là ne tombe sur vous à l’improviste comme un filet ; il s’abattra, en effet, sur tous les habitants de la terre entière.

Restez éveillés et priez en tout temps : ainsi vous aurez la force d’échapper à tout ce qui doit arriver, et de vous tenir debout devant le Fils de l’homme. »

Retrouvez l’homélie de Louis DE MONTGRAND en cliquant ici

Crèche de l'église St Etienne

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Crèche de l'église Ste Thérèse

creche

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